Prends l'air.

Faust qui était là depuis quelque temps vit Haru qui s'était fait mal et s'approcha lentement.

"Est-ce que ça va?"

Je regarda mon genou et fusilla du regard Faust.

- Sa à l'air ?!

Puis je regarda le ciel et baissa les yeux mettant mes mains sur mes yeux.

- J'ai mal et j'en en marre ! Je suis méchante avec toi alors que tu ma strictement rien fais ! Je... Désolait...

Il s'approcha et examina le genoux d'Haru. Il sortit sa flasque et versa quelques gouttes de son contenu sur la plaie.

"Si je ne me trompe pas, l'alcool empêche l'infection non?!"

Je serra les poings et les dents en même temps mais celà ne sufis pas pour m'enpêcher de hurler.

- Mais t'est malade !

Mes larmes furent vite partit et je regarda mon genou rouge qui s'arrêter de saigner...

- Merci mais... je continue a croire que tes malade ! Tu sais pas que de l'alcool empêche certes les saignement mais que sa fais atrocement souffrir !

Il était embarrassé.

"Ha heu... Je suis vraiment désolé."

Je le regarda surprise j'y était peut être aller un peu fort. Je lui souris essayant de faire comme si je n'avait plus mal.

- C'est pas grave se qui compte c'est le résulta...

Je tendit ma main vers le ciel et soupira.

- Je crois que de nous deux celui qui dois s'excuser c'est moi ! Alors je ne veux pas entendre tes excuse parce que pour un premier jour je suis vraiment la plus horrible.

Il soupira à son tour.

"Oh, t'es pas si méchante que ça tu sais."

- Ouais ouais c'est sa...

Je lui fit signe de s'assoir à côtés de moi et regarda le ciel.

- Et sinon... Ici c'est quoi en fait ?

Il obéhit et s'assit à côté d'elle.

"Beeen, le toit quoi..."

- Non pas possible j'avait pas deviner qu'ont étaient sur un toit !...

Je regarda le sol et souris un peu a contre cœur.

- Je te demande se que c'est ici... un pensionnat ? Je sais pas bien ma mère ne m'a rien dit alors je te demande...

Le cœur serrer j'essayais de retenir mes larmes m'empêchant de pleurais.

"Ha heu, c'est un pensionnat effectivement. Ici sont scolarisés les jeunes possédant des pouvoirs pour leur apprendre à les maitriser."

Il vit qu'Haru était au bords des larmes.

"Eh ben, ça va pas?"

Je lui souris essayant de cacher ma déception.

- Si ça vas c'est juste que... Rien oublie de toute façon tu dois bien t'en fichait de mes affaires... Je suis comme tout ceux qui sont ici surement je suis un peu triste d'avoir quitter ma maison mais... c'est peut être mieux ainsi...

"Non je m'en fiche pas. C'est toujours bien de discuter avec quelqu'un."

Puis il sembla comprendre quelque chose.

"Oh, je suis désolé peut-être que tu veux pas en parler..."

- Peut être... peut être pas...

Je serra mes jambes contre moi et regarda Faust.

- je crois que ma mère m'a emmener ici parce que j'ai tuer mon père inconsiament....

"Ha... Même après une chose comme celle-ci c'est plutôt inhumain de sa part de t'abandonner comme ça..."

Il était heureux qu'Haru veuille bien lui faire part de ses soucis.

- Oui mais bon j'avais des problèmes en cours et puis mon père et ma mère se détester mais quand il est mort j'ai l'impression qu'elle m'a encore plus détester que lui...

Je regarda le ciel et me leva faisan face a Faust.

- Mais tu sais quoi ?! Je ne me suis pas faite arrêter ma mère n'a pas subis d'interrogatoire tout simplement parce qu'ont à jamais pus prouver que j'étais coupable.

Il était surpris de cette révélation.

"Ha? Et pourquoi?"

Je baissa la tête et effaça les quelques larmes qui aurais pus m'empêcher de continuer à parler calmement devant Faust. Quand ceci fus fait je releva la tête essayant de sourire.

- En fait depuis que j'ai 5 ans mes parents parlent de divorces et de séparation... Souvent mon père frapper ma mère. Ceci est devenue une habitude pour moi de voir mes parents se batrent mais je n'est jamais réellement voulus défendre ma mère. Jusqu'au jour où alors que la veille j'avais rêvée protéger ma mère en enfonçant un couteau dans la poitrine de mon père je me réveilla et le trouva mort dans la cuisine.

J'essuyais la larmes qui voulais coulée sur ma joue en appelant ainsi une secondes et regarda Faust.

- Il n'ont jamais pus prouver que j'étais coupable de la mort de mon père car il n'y a aucune trace qui le montre... Ma mère... Elle... Depuis se jour elle m'a comme abandonnée...

Je baissa les yeux marquant ainsi la fin de mon résit et regarda vers le bas droit devant moi.

Il compatissait :

"C'est une bien triste histoire que voilà.
Et tu n'a jamais trouvé personne pour s'occuper de toi?"

Je leva la tête et me mise a rire tout en sourirent.

- Tu sais je ne suis plus une enfant j'ai pas besoin de papa maman ou même de quelques pour s'occuper de moi.

J'avais soudainement très vite changer de caractère sans même m'en rendre compte. Je me releva et regarda le ciel puis je fis quelques pas, le mal de mon genou étant passer je pouvait a présent marcher normalement. Je m'approchais dangereusement du bord du toit et quand je ne fut plus cas quelques centimètre je m'arrêta faisant face a Faust.

- tu sais... Se que je t'ai dit... Sans prendre compte de mes larmes... Tu trouve que c'est comment ? Se qu'ils m'ont fait mes parents... Mon passée ?

Il était étonné de cette question.

"Eh bien... Je trouve ton histoire plutôt triste, même si la mienne n'est pas joyeuse non plus j'ai eu le droit à de l'affection..."

Je lui souris contente qu'il ne me trouve pas bizarre ou même qu'il ne soit éfrayer parce que j'avais peut être tuer mon père. Après un long silence où j'étais rester loin de lui dans mes pensées je m'approche et m'assisse face a Faust.

- Ton passer... Il est comment ?

Il la regarda, surpris de son changement soudain de caractère.

"J'ai été trouvé sur les bords de la Tamise, à Londres en Angleterre et élevé par un homme plutôt aisé, un jour il dût partir au Japon pour des raisons professionelles et il a trouvé cette école. Il m'a tout de suite prévenu et envoyé un billet d'avion. Il m'avait déjà appris le Japonais car c'était sa langue natale."

Je le regarda surprise où était le 'pas très joyeuse ?' Sans m'en rendre compte au lieu de penser je le dit à voix haute.

- Je vois pas où ton histoire est triste.