Etant fatigué de tourner en rond dans son bureau, le professeur O'Malley décida d'allez faire un rapide tour des lieux, histoire de savoir un minimum où il avait encore mis les pieds. Avancant au hasard dans les nombreux couloirs qui composaient l'académie, il finit par tomber sur l'endroit où il avait fait son arrivée, le hall. N'ayant aucunement envie de faire marche arrière, il se dit que la visite du batiment lui meme se ferait apres la visite des alentours. Marchant durant quelques metres, le professeur O'Malley se sentit fortement courbaturé. apres tout comme il le disait si bien: "un scientifique n'est pas fait pour la marche, mais pour la reflexion pure et simple." Mettant un genoux au sol, le professeur O'Malley actionna deux miniscules interrupteurs qui se trouvaient sur ses chaussures. En un instant, ce qu'il avait aux pieds s'étaient transformés en patins à roulettes. Se redressant lentement, le professeur de science se mit à tourner a tourner sa vis dans un sens tout en sortant son paquet de cigarettes de l'autre main. Guntz resta un moment pensif, avant d'arreter de tourner sa vis, de se saisir d'une cigarette et de l'allumer:
*Un peu rétrro les patins, faudrait que je pense à trafiquer ses chaussures pour en faire des rollers. Quoi que je finirait par me peter la face ...*
Mettant ses mlains dans ses poches, le professeur O'Malley Continua d'avancer à son rythme, c'est à dire tres lentement. Il finit par arriver en vue de la serre, ou la beautée des fleurs se mélangeaient à leur fabuleuse couleurs et à leur parfum ennivrant qui arrivait jusqu'au narines de notre professeur préféré. Mais l'homme n'avait que faire de toute cette beautée et de toute ces senteurs. La vue de ces fleurs lui avait rappelé une serum hautement toxique si il est mal utilisé à base de fleurs tres rare qui ne poussent qu'en haut des montagnes d'Asie. Une experience qui pourait etre tres interessante pour son premier cour. S'approchant de l'entrée de la serre, Guntz poussa la porte, lorsqu'un vase vint exploser contre l'une des vitres de la serre, à juste quelques metres de son visage. Ne montrant aucun signe de surprise, le professeur O'Malley sans faire le moindre geste, sortit une main de sa poche, et tout en regardant la jeune fille s'étouffer, se mit à tourner sa vis. Mais lorsque le bruit sourd habituel de sa vis se fit entendre, l'expression de son visage changea completement. D'une voix serieuse et grave, il lui dit en la fixant avec son eternel regard neutre et agaçant et en remettantt ses mains dans ses poches:
-Et bien, ce n'est pas tout les jours que l'ont peut voir un vampire de si pres. Je peux peut etre t'aider, ou bien tu tient vraiment à mourir. Apres tout tu fait ce que tu veux, si t'as des envies de suicides précoces, moi c'est pas mon probléme.