Le ciel est beau, de nuit comme de jour![Qui veut répond.u___u]

Cela devait bien faire deux mois que Keiko était rentré à L'académie Manga, la séparant de sa mère, sa seule famille, et elle n'avait fait aucun progrès convaincant. Sa force restait toujours sans limites et incontrôlé, alors que son don pour parler aux animaux s'améliorait de jours en jours...

Mais à quoi cela pouvait bien servir, de parler aux animaux? Keiko aurait cent fois préféré maitriser son immense force, ne serait-ce que pour serrer sans crainte sa mère dans ses bras à son retour...Rien que pour cela...

Mais aujourd'hui encore, elle en serait bien incapable...Rien que l'idée de serrer la main à quelqu'un la terrorisait, tellement elle avait peur de la lui broyer dans les règles de l'art, comme à son professeur de Musique, qui n'avait plus jamais pû jouer de piano après ce malheureux accident. Et Keiko savait que c'était sa raison de vivre, à ce monsieur. Il lui avait redonner un peut de courage en elle, et elle, en remerciements, lui avait enlevé son bien le plus précieux...

Dix jours après, il s'était suicidé. Ca fait mal. Elle avait détruit une vie, comme le chien des voisins des années plus tôt, encore une fois.

*Je ne suis bonne qu'a arracher leurs ailes aux oiseaux pour qu'lls ne volent plus...*songea-t-elle avec amertume, en s'adossant à la rembarde du toit, prommenant sur le pensionnat et ses alentours un regard bleu-noir dérangeant.

Keiko ne sû pas trop pourquoi elle était venu sur le toit, si tôt dans la matinée. Peut-être avait-elle penser que l'air frais lui ferait le plus grand bien.

*Deux mois au pensionnat, et je n'ai pas pû oser m'approcher de quelqu'un d'autre que lui...*murmura-t-elle en se rapellant Wolf, et ses yeux tellement rongés par la tristesse...Elle aurait bien aimer savoir ce qui lui était arrivé...

"Je ne suis qu'un monstre bon à abattre et jeter..."

karest était dans les cieux quand il vit une file sur le toit qui disait qu'elle était un monstre
tu n'es pas un monstre a jetté
karest aterrit a quelque mètre
tout le monde ici fait des erreur la preuve j'ai tué ma famille et je ne dis pas que je suis bon a jetter on a beau faire des erreur on en et pas des monstre si on tue des personne ses a cause de nos pouvoirs que l'on ne peut métrisaitkarest avait dit tout cela avec coolère il detestait les gens qui se lamentait

tu n'es pas un monstre a jetté

Keiko retourna brusquement sa tête vers l'origine du bruit, faisant voler ses longs cheveux noirs attachés cette fois en deux couettes hautes, juste à temps pour voir attérir non loin d'elle un jeune homme, qui avait l'air assez couroucé.

Elle lui jeta un regard appeuré, mais ne put rien dire ni faire, car le garçon continua sur sa lancé, d'un ton rapide:

tout le monde ici fait des erreur la preuve j'ai tué ma famille et je ne dis pas que je suis bon a jetter on a beau faire des erreur on en et pas des monstre si on tue des personne ses a cause de nos pouvoirs que l'on ne peut métrisait

La jeune mutante recula de quelques pas du jeune homme, les sourcils froncés. Il était évident que le garçon était en colère, le son de sa voix trahissait aisément ses sentiments. Mais il n'était pas le seul à être en colère.

Keiko, aux paroles du garçons, avait peut à peut sentit une colère sourde monter en elle: Comment pouvait-il lui dire ça comme ça, alors qu'il ne la connaissait même pas? Comment pouvait-il lui annoncer avec cette voix qu'il avait tué toute sa famille et que ce n'était qu'une erreur..?

Elle ne pouvait vraiment pas supporter ça.

Keiko releva la tête, écartant une mèche de cheveux ébènes venue se mettre devant ses yeux saphirs et lança un regard plus qu'éloquent au jeune arrogant, avant de rétorquer d'une voix sombre:

"Ca, c'est ton point de vue. Si je ne maîtrise pas mon pouvoir, c'est ma faute. C'est entièremùent ma faute. Je suis vraiment une bonne rien, un monstre bon à jeter dont personne ne se soucieras jamais...mais...Toi, comment peux-tu dire qu'avoir tué toute ta famille n'était qu'une erreur...? Les gens comme nous sommes des erreurs. Pas nos actes. J'aurais déjà mit fin à mes jours si j'avait tué ma mère..."

La jeune fille pensa alors que le garçon n'allaît certainement pas apprécier sa réponse, et lui répondre par une remarque cinglante et bien placée. Mais elle s'en fichait.

Dans sa colère, Keiko n'avait pas fait attention à quel point elle avait serré la barre de fer entre ses doigts: Maintenant, elle l'avait froissé et tordu, comme s'il s'était agit d'une simple en feuille en papier...