Nom : Kurara
Prénom : Hamasaki
Age : 16 ans
Nationalité : Japonaise
Date de naissance : 29 décembre 1994
Description Physique :
Kurara est très petite (1m57). De longs cheveux bruns effilés tombent dans son dos. Elles ressemblent à une poupée de porcelaine. Sa peau trop pâle pour ses cheveux sombres, et ses yeux bleus trop scintillants. Sa bouche, aux commissures parfaites et aux lèvre épaisses, semble peinte tellement qu’elle est rose. Elle s’habille principalement de noir, de blanc et de bleu. Elle a pour habitude de se tenir droite. Cela la rapproche encore plus d’une poupée de porcelaine. Elle se balade toujours avec beaucoup d’objets inutiles dans ses poches, et avec une peluche en forme de lapin qui a un œil recousu (voir histoire). Cela peut bien entendu lui valoir quelques brimades, mais elle ne se séparera jamais de ce lapin. Le grand mystère de Kurara, est le fait qu’elle ne fait pas de bruit, malgré le nombre d’objets qu’elle a sur elle.
Description morale :
De l’extérieur, elle semble calme et elle détache souvent un sourire. Mais lorsqu’on la connaît mieux elle est plus enjouée, drôle, voir même, de temps en temps, sarcastique. Et lorsqu’on la connaît encore mieux, on peut voir son âme déchirée par les malheurs qu’elle a subit. Le cœur sur la main, et très gentille, elle peut sembler trop sensible. Elle se moque de l’avis des autres et elle ne désire qu’une chose rencontrer l’amour (voir histoire).
Histoire :
« Je n’en peus plus d’elle ! Elle me fait peur ! Je veux qu’elle disparaisse !!! Aide-moi je t’en pris… Si un jour cela se retourne contre moi… Elle n’est pas normal ! Je te le jure ! »La tête dans ses bras, assise, tout son corps soutenu par une table, la femme sanglotait,désespérée. A son côté un homme, au yeux océans, la consolait.
« Voyons, chérie, c’est de notre enfant que tu parles. Elle ne peut être aussi bizarre… Pourquoi as-tu peur d’une gamine de cinq ans. »La femme se redressa, laissant découvrir un visage tiraillé par les larmes et marqué par des sillons de mascara. Elle continua de se plaindre de cet enfant. Enfant voulant, semblait-il, ne pas donner son attention à autre chose qu’aux objets. Enfant qui mettait dans un état pitoyable sa mère.
Une voix se fit entendre dans la pièce. Une voix qui telle une symphonie, chantait. Un chant sans paroles, certes, mais une chant si mélodieux et à la fois plaintif. L’homme se leva , il se dirigea vers une porte. Il afficha des traits perplexes, puis il ouvrit.
Une petite fille brune, avec deux tresses, se tenait à genoux dans l’entrebâille. Elle serrait contre elle une peluche aux yeux rouges, un lapin… La petite fille pleurait,… et chantait. Comment une voix aussi magique pouvait provenir d’une si insignifiante petite fille ? Pourquoi autant de tristesse émergeait d’elle ? … Lorsque sa voix se tut, les yeux de la peluche redevinrent noirs.
« Kurara, pourquoi n’est tu pas couchée ? »Le père s’était adressé à l’enfant avec beaucoup de douceur. Il voulut la prendre dans ses bras, elle le repoussa. La peluche mis ses bras autour du cou de l’enfant, et ils gravirent l’escalier… La mère s’était pétrifiée.
***
« Je ne peux plus supporter t’entendre te plaindre d’elle. Si tu la hais tant, pourquoi parles-tu toujours d’elle ? Je m’en vais et je ne veux plus jamais te revoir. Et si, elle, veut me revoir, je ne refuserais pas… »J’étais à la fenètre. Je voyais mon père s’en aller, me laissant avec cette mère terrifiée. Papa, tu étais pourtant le seul à prononcer mon nom pour m’appeler. Pourtant avec elle et avec tous les autres j’étais « elle ». Le monstre étrange. Peut être que tu m’haïssais toi aussi. Se serait pour cela que je ne t’ai plus jamais revu après ce départ ? Tu me fuyais. Donc, en somme, tu es le plus lâche de tous.
Je me retournai. Face à ma chambre, sans jouets. Ma mère avait peur que je leur donne vie à eux aussi. C’est pour cela que ma chambre ne contenait qu’un lit, une armoire, et toi Nikkie.
Tu me narre que je t’ai eu à ma naissance, que je t’ai observait longuement et que tu fus surpris de prendre vie, de voir. Au fil des années, je ne te quittais jamais. Et toi, ton âme se perfectionnait. Tu commençais à bouger, à ressentir des sensations et sentiments, et pour finir avoir des avis. Après toutes ces années tu es devenu Nikkie, à la même place qu’un humain. Mon meilleur ami. Et non une peluche sans valeur.
***
Ma mère repris un peu plus de formes lorsque je rentrai à l’école. Elle me voyait moins souvent. Mais d’autres problèmes s’imposèrent à moi. Je devais laisser Nikkie seul à la maison, et à l’école, les élèves et les professeurs me détestaient. Je les effrayais.
« Hamasaki ! Mais ! Mais … Mais… Qu’est ce que c’est que ça ? _Je sais déjà écrire. Alors il m’ai été facile d’ordonner à mon stylo d’écrire à ma place. Je trouve que c’est un exercice plus compliqué… »L’enseignante déglutit bruyamment. Elle s’approcha de moi doucement, elle était si proche que nos nez se collaient.
« Fais au moins semblant de toucher ton stylo. »Sur ce, elle partit. Le lendemain, je changeai de classe.
Aux récréations, je me trouvais toujours seule. J’aurais aimé que Nikkie me tienne compagnie. J’eus une envie pressante. Je me dirigeai à petit pas en direction des toilettes. J’ouvris la porte d’un, quand des voix se firent entendre. Des voix qui me piquaient le cœur comme des aiguilles… Des paroles blessantes et monstrueuses sortaient de la bouche de trois élèves comme des serpents. Assez ! Je vulais qu’elles cessent… Je plaçai mentalement deux âmes dans deux cuvettes de toilettes. Elles se soulevèrent de leurs trônes. Et elles foncèrent, dangereusement, vers les trois filles. Effrayées, celle-ci, fuirent se réfugier vers les enseignants qui bavardaient. Après ce geste d’ultime défense, je fus renvoyée de l’école. Ma mère démoralisa …
***
Je n’avais pas encore intégrée une nouvelle école, toutes me refusaient. Je me sentais de plus en plus mise à l’écart, mais Nikkie me réconfortait.
Un soir, j’entendis ma mère rentrait. Habituellement, elle passait voir si j’était bien dans mon lit. Mais elle ne montait pas. Curieuse, je descendis à tâtons les escaliers. La lumière du salon était ouverte. Je passai ma tête pour voir.
Ma mère se tenait dans les bras d’un homme grand de forte musculature. Il était vêtu d’un costume noir. Ma mère, ses mains dans les cheveux de l’homme, l’embrassait langoureusement. J’ouvris brusquement la porte, faisant irruption dans la pièce, les sourcils fronçaient.
« Maman ! Tu … Et Papa ! »Ils arrêtèrent leur baiser, sans pour autant se séparer. Ma mère le tenait contre elle fermement.
« Ce n’est pas le moment de me faire ch*er, toi ! File dans ta chambre et laisse nous ! »Mes joues brûlaient de fureur, et des larmes descendaient les saler. J’étais hors de moi, je ne contrôlais plus mes gestes. Je ne sais pas comment cela se produisit. Des tas de couteaux, rasoirs, ustensiles pointus, venant de toute part dans la maison, emplis de ma haine, se rejoignirent en un point. Ma mère. Lorsque surprise je reculai d’un pas, tous ces objets se fracassèrent au sol. Laissant apparaître qu’un amas de chair rougi par les sang. C’était ce qu’était devenue ma mère. Mon horrible mère qui me faisait tant souffrir. L‘homme vomit. Je fixai cette horreur sans ciller. L’homme s’enfuit en courant, terrifié.
Après des instants de délires, horreurs, peines, joies diaboliques… J’acceptai ce geste, mais ne pouvant l’assumer totalement, je rassemblai des affaires. Une carriole, remplie d’objets inutiles, de nourritures, se retrouva devant la porte de la maison. Je plaçai au-dessus de cela, Nikkie , puis j’intégrai une âme simple, obéissante, à la carriole.
***
Cela faisait des jours que je marchais sans but. La carriole me suivait en faisant un brouhaha derrière moi. Fatiguée, tiraillée par la faim, je cherchais désespérément un miracle. J’aperçus au loin une forme. Je m’approchais de plus en plus d’elle et je distinguai une caravane.
Désespérée, je frappai à la porte… Une femme ouvrit. Elle avait de long cheveux noirs crépus, et possédait un visage doux et serein. Elle était recouverte de nombreux châles de couleurs sombres.
Elle m’invita à rentrer et elle m’installa sur une chaise pour me servir une tasse de thé.
« Qui est-tu mon enfant ? Qu’elle âge as-tu ? Et que fais-tu ici toute seule ? »Elle me regardait avec des yeux verts inquiets.
« Je m’appelle Kurara Hamasaki et j’ai dix ans. Et je ne sais pas se que je fais ici… »Nous bavardâmes, mais de peur qu’elle me rejette, je ne lui révélais pas le crime que j’avais commi et le dons que je possédais. Elle commençait à s’énerver , à s’inquiéter… Je détendis l’atmosphère… Je ne savais pas comment je m’y étais prise, mais je l’avais fait. Pour finir, comme la conversation s’allongeait, nous passâmes aux confidences. Je lui révélai tout. Tout sur tout… Chacune de mes pensées. Elle fit de même. Je fus surprise de bien m’entendre avec elle. Il était très tard. Nous finîmes par nous coucher.
***
Je vécus six années avec Sélania. Pour gagner notre vie, j’avais mis des âmes dans des marionnettes et nous fîmes des spectacles avec. Laissant entendre que nous étions les meilleurs marionnettistes de la région, nous vivions une vie facile. La vie semblait si simple avec elle. Elle et Nikkie m’aidèrent même à développer mon don. Que le vie était douce. Je pus oublier tous mes péchés. Mais un jour, Sélania rentra avec un sourire qui s’effaça lorsqu’elle m’aperçut. Je craignais le pire…
« Kurara, je t’adore tu le sais. Mais tu vas devoir partir. »Elle posa le long paquet qu’elle avait apporter sur la table. Le silence était lourd… J’attendais …
« Voila… je suis amoureuse et je vais me marier. »Tout s’éclaircit.
« Je vais revendre la caravane… Et partir avec lui. C’est une chose si belle l’amour ! J’espère que tu le connaitra Kurara. Pour ne pas te laisser seule sans rien, j’ai trouvé une solution à ton problème. » Elle sortit un plan…
« Tu iras à l’académie Kitai. C’est une académie pour les gens qui ont un pouvoir comme toi. Tu ne serras plus rejetée. Et tu auras toujours Nikkie. »Sous l’appel de son nom, la peluche se leva et mis son bras autour du mien. Sélénia semblais si heureuse… C’était cela … L’amour. Elle déballa le paquet, laissant apparaître une magnifique épée au paume au d’or, incrusté d’une pierre pâle.
« Voici pour toi, tu ne seras plus sans défense Kurara. »***
L’épée accrochée à ma ceinture, vêtue d’une robe blanche, mes poches remplies d’objets, et Nikkie sur mon épaule, j’avais di au revoir à Sélénia et je partais. Au bout de quelques jours, j’aperçus la bâtisse, l’académie Kitai.
Groupe Souhaité : Artistes
Pouvoirs : Kurara a le pouvoir de créer des âmes. Elle les place dans des objets, plus l’objet est gros et sophistiqué, plus il est difficile et long de créer une âme à son intérieur. Mais elle a passé ce stade de l’apprentissage seule. L’âme qu’elle crée sera emplie de son humeur (haine, joie…) Lorsqu’elle crée une âme vite fait elle est simple, n’as pas de capacité de pensée et de réflexion. Alors que plus elle passe du temps à créer une âme, plus elle seras réfléchit et se rapprochera de l’âme humaine, mais il faut du temps. Nikkie est devenue une âme humaine créée par Kurara depuis sa naissance elle sophistique cette âme. Son épée aussi est une âme qui peut réfléchir, mais pas encore ressentir et donner son avis comme les humains, car Kurara a passé moins de temps à la créer.
Elle possède un autre petit pouvoir qui est celui d’agir sur les âme… Les détendre, les poussé au combat… Mais ce n’ai qu’un petit don.
Famille : Kurara n’a plus de famille. Son père s’est littéralement envolé, et elle a tué sa mère. Elle est fille unique et elle ne connais pas d’autre membre de sa famille. Elle a considéré Sélénia comme étant sa mère pendant six ans.
Ce qu’elle aime :Kurara a un petit faible pour les glaces à l’eau ! Elle préfère les couleurs pures (blanc, noir…). Elle a une passion pour le chant, et elle aime aussi dessiner. La personne, si on peut l’appeler personne, est Nikkie, sa peluche animée. Elle n’as pas d’autres amis… Son moment favori de la journée est le crépuscule car c’est le moment du chant silencieux des âmes.
Ce qu’elle déteste :Elle déteste ceux qui est détestable…
Rêve :Le rêve de Kurara est d’être aimée par un homme. Depuis qu’elle a vu le bonheur de Sélénia, elle aimerait savoir ce que cela fait. Son autre souhait est de pouvoir étendre son pouvoir au réparage d’âme sur le point de mourir…
Cauchemar :Perdre Nikkie et se faire à nouveau rejetter.
Signe particulier :Peluche (Nikkie)
Chambre : Aucune idée… Si on pouvait m’éclairer sur le sujet…
Codes du règlement :
[Code OK Eiichi ^^]