Une nuit sur les toits *Pv Lady*

La nuit étais fraiche comme put le constaté Oliven en s'engouffrant dans la porte au dessus l'escalier qui menait sur le toit de l'école, Oliven n'avait vraisemblablement aucune idée si le toit étais autorisé aux éleves ou non et tout aussi vraisemblablement, il s'en foutait completement. Sa longue criniere blanche fut balayé par un coup de vent qui souffla a L'instant emme ou son corps fit irruption dans l'air libre de cette nuit si fraiche,il ne fesait ni trop froid, ni top chaud et le vent soufflait calmement, bref une température parfaite. Le cinquieme anné fit quelque pas silencieux sur le toit, ses pas furent silencieux, inaudible et peu importe le silence qui regnait dans la nuit, le jeune homme ne fesit nul bruit, le silence regnait dans cette noirceur. Vetu d'une simple chemise noir avec une poche du coté du coeur et d'un pantalon de jogging tout aussi noir que la chemise qu'il portait, le garcon ne portait aucun soulier, ses pieds n'étaient vetu que de simple bas blancs. L'air songeur, le jeune homme s'avanca et le vent continua de souffler sur son etre, son regard songeur monta vers le ciel et il croisa le regard si merveilleux de la lune, boule argenté qui éclairait les vivants de sa grandeur sans jamais descendre de son merveilleux palais, entouré de ses si nombreuses servantes les étoiles qui brillaient de mille feux afin de mieux plaire a leur maitresse. Le garcon eut un vague sourire et s'avanca de nouveau, il baissa le regard et vit en contrebas, la cour de l'école, le parc et des arbres, sur un banc étais assis une personne. Oliven la regarda songeur, un insomniaque peut-etre, ou une personne qui se fumait un joint peut-etre? Peu importe la raison qui amenait cette forme obscure ce banc, elle y étais voila tout.

Le garcon s'assit et laissa pendre ses jambes dans les airs et de nouveau il regarda le ciel et laissa ses pensées vagabondé et comme a l'habitude, son esprit perdu pied dans la réalité, le vent souffla sur ses cheveux qui disparurent du devant de son corps et se réfugierent dans son dos, révélant son piercing a la levre et au sourcil, la lune l'éclaira de sa faible lueur argenté, lui donnant l'allure d'un mourrant par sa paleur et son regard si pale qu'il en paraissait vitreux. Il se remémora calmement sa journé, commencant dabord par ses cours, puis son étrange rencontre avec la femme qui ressemblait tant a sa mere, droel de coincidence quand emem et elle avait égalemetn un drole de comportement. Sa mere... Il aurait tant voulu la connaitre, se faire serrer dans ses bras et se faire border, peut-etre qu'ainsi, il aurait pu etre normale, etre comme les autres et il n'aurait pas eu a jouer la comédie pour que les gens l'apprécient, il aurait été différent de celui qu'il étais aujourd'hui, le monde ne l'aurait ps délusionner et par dessus tout, il n'aurait pas autant souhaiter sa mort sans etre capable de se la donner, par peur. Qu'arriverait il une fois mort? Il avait peur, il n'étai pas particulierement croyant, mais il avait peur de mourir, peur que pour l'étenité, son ame soit tourmenté apr le souvenir de sa mere et de Rose... Le vent souffla sur son visage et il releva le regard vers le ciel obscure emplit d'étoile, il eut l'impression que le vent le soutenait comme pour lui alléger la conscience, Oliven eut un vague sourire.

*Merci mon ami... Mon seul ami...*

Il baissa le regard et posa ses mains sur ses genous, son visage se figea soudain et ses yeux tourmentés s'agrandirent, il se retourna par dessus on épaule et vit la porte s'ouvrir, une personne, un intrus dans son calme si parfait! Il ressetit un début d'émotion étranger et son regard bleu si iréelement pale regarda la silhouette, ses yeux devinrent vide comme i rien n'existait derriere tant l'ame étais détruite, pourtant, son visage devint songeur, a tel point qu si les yeux semblaient étrange, le visage lui semblait normal.

-Bonsoir... Prononca t'il de sa voix reveuse et absente.

La jeune femme qui venait d'arriver ne répondit pas, elle le regarda a peine meme et continua son chemin jusqu'a aller s'adosser plus loing sur une grille métallique censé empecher les gens de tomber vers le sol qui les tuerait inévitablement, vexé, blessé de la non-réponse et légerement indifférent, il retourna son regard vide vers les cieux, si loin devant. Un vers lui vint en tete et sans y réfléchir, il le murmura de sa voix si doucereuse.

-Et ainsi, Oh moi l'obscure créature, j'implorai l'aide de la lune qui me regardait de si haut, je l'implorai de m'aider, de laisser la grace de ses rayons m'éclairé et m'arracher a jamais de l'obscurité qui depuis toujours m'enferme, cependant la lune ne me regarda pas, si haute, si belle, elle n'avait que faire des créatures comme moi.

Bon ce n'étais pas nécessairement bien, meme plutot mauvais, mais Oliven s'en fichait completement, a chaque fois qu'il étais inspiré, il la laissait sortir de lui. Il baissa la ete et regarda le sol loin en contre bas, sa tete se cogna contre deux barreau et il ne bougea pas, il sentit naitre en lui une sorte d'incertitude, ne sachant trop s'il devait parler ou non, ne savant pas trop comment s'y prendre, puis cherchant l'inspiration, il ferma les yeux et grinca des dents, il ne voulait plus, il ne voulait plus sentir les émotions des autres, il voulait etre lui! Pourquoi ne pouvait il pas etre comme tout le monde, pourquoi devait il endurer la souffrance des autres en plus des siennes! Une larme coula le long de sa joue et il l'essuya rageusement, son regard cerné fixa la lune de nouveau et il eut envie de crier, crier de toute ses forces, jusqu'a ce que sa gorge saigne et que les fenetres aient crié du rugissement des émotiosnq ui étaient enfermé en lui depuis si longtemps. Il serra les barreaux plus fort, une nouvelle larme coula et il sentit ses émotions sortir du vide qui l'habitait pour devenir incontrolable, le vent autour de lui s'agita et devint violent féroce, il entendit des feuilles claquer au loin et ses yeux palirent encore plus, les larmes continuerent de couler silencieusement, heureusement son visage étais caché au visage de la jeune femm nouvellement arrivé.

*I tried to be someone else, but nothing seems to change* Résonna en lui la chanson du groupe 30 second to mars et en réponse il eut de la voix si merveilleuse de Rose.

*Les monstres ne change jamais Oliven* Susurra sa voix dont les paroles de son vivant n'aurais jamias été ainsi, mais il ne le remarqua pas.

Les émotions cesserent aussitot et Oliven se releva, essuya ses larmes du revers de sa manches et se tourna vers la jeune femme, la fixant deson regard iréelement pale au vide si profond, pendant une seconde la lune éclaira son visage blafard, puis elle passa, Oliven se retourna, personne ne l'aimait, personne ne pretait attention a lui, a quoi bon vivre. Il regarda le sol en contrebas, son corps tremblaient de toute part, il n'y parviendraient pas... Il n'y parviendraient aps parce qu'il avait peur, comme un lache... Soudain il eut la brusque envie de prendre une pills d'ectacy et de se laisser choir dans de reve plus confortable que la réalité, il secoua la tete, plus tard... Sur ce il se tourna et fit quelque pas vers la porte, il s'y adossa et jeta un coup d'oeuil a la femme presque invisible dans le noir, les cheveux maintenant ébouriffé par le vent qui venait de se déchainer, le vide dans le regard, Oliven s'assit contre le mur et sortit une gcigarette de sa poche, la main tremblante il l'alluma et sortit une bouffé.

-Vous ne parveniez pas a dormir ? Demanda t'il calmement a la femme sans la regarder.

Il respira de nouveau une cigarette et son regard se tourna vers elle, la regardant de son regard si vide, si abyssaux. Si elle ne savait pas comment aborder les gens, lui le savait, cependant il ne savait pas comment etre sincere, les gens se révulserait de savoir ce qui se passait dans la tete de cet homme a l'apparence si normal. De nouveau la lune les éclaira.

Il n'aimait aps avoir des émotions, les émotions divergeaient notre réel facon de pensé et influenca... Le jeune homme secoua vivement la tete, ce n'étais pas sa facon de pensé... En fait oui, mais celle-ci ne provenait pas de lui et son regard pale et curieux se porta sur la femme, il avait la vague impression de regarder en elle comme dans un mirroir qui lui réfléterait sans cesse ses propres émotions, le ramenant a son dos qui voyait ses émotions a elle qui étaient drolement similaires aux siennes, puis a ses émotions et de nouveau aux siennes et ainsi de suite. Pris dun vertige, il ft quelque pas maladroit et s'accrocha a la rambarde de sa main gauche, un vent lui effleura le visage et il réprima un haut le coeur, quel étais donc cet effet mirroir? Légerement nerveux et drolement ébranlé par ce retournement d'émotion, Oliven lecha sa levre inférieur et passa une main tremblotante dans sa longue criniere blanche balayé par le vent nocturne de cette nuit douce et fraiche. Dans la nuit un hibou hulula et le garcon sursauta, il placa son regard sur la lune accordant peu d'importance a la dame a ses cotés comme il fesait d'environ tout le monde, comme il fesait de lavie en tant que tel en fait, ses pensées ne dériverent pas et elle resta fixe sur un point d'ancrange doux et frais, le vent qui soufflait continuellement sur son visage, la lune et ses étoiles qui les éclairaient doucement, les regardant avec ddain du haut de leur grandeur nocturne.

- J'y ai pensé... Mais je n'aurai eu que sommeil agité alors je n'ai pas osé en les contrées obscures que l'on apelle mon subconscient.

Sa voix étais reveuse, aérienne et si faible qu'elle troublait a peine le silence de la nuit, silence tendu soit dit en passant, causé par l'incapacité des deux adolescents a discuter avec les autre, sociopathe aurait on dit, peut-etre, peut-etre pas, peut-etre meme plus! Le résultat restait le meme, Oliven regardait la dame, incertain quant a la facon de l'aborder le plus gentiment possible et elle le regardant avec un air légerement hostiles qui effarouchait Oliven qui en des temps plus heureux aurait rougi et balbutié une réponse incohérente, cependant maintenant, cette attitude le révoltait et donnait une certaine froideur au cratere sans vie de son ame. Le regard du jeune homme se perdit dans le vague, bleu iréel fixant le vide, ses cheveux pousser par le vent se poussant sur son visage, dans les airs et flottant dans le vide en claquant, son regard si pale descendit, glissa le long d'un poteau et de nouveau ce drole d'effet miroir. Ses yeux survolerent les cheveux de la dame, mélangés, non... Coupé a différentes grandeurs, l'effet mélangés n'étaient qu'une mauvaise impression, plat et noir. Puis une peau pale avec un front assez petit suivi de deux yeux de différentes couleurs, un vert, un bleu et une pensée assaillit le jeune garcon qui se dit que la fille avait de drole de yeux sans prendre en compte ses propres yeux qui semblait trop pale pour etre vrai.

-Arrete de me fixer comme ca veux tu, c'est déja suffisament difficile d'endurer ton silence frustrer sans qu'en plus tu me regarde avec cette gueule la!

Sa voix étais froide, coupante comme un couteau et ses yeux vide d'émotions, il la regarda quelques instants puis détourna le regard et se perdit dans le vague du ciel obscure, en bas les chauve souris volaient d'un arbre a l'autre. Le 5ième anné regretta les paroles qu'il venait de prononcer, il ne voulait pas etre méchat, mais etre regarder ainsi le tuait, il avait l'impression que c'étais ¨elle¨ qui lui lancait ce regard...Une larme perla sur sa joue et il l'essuya machinalement, son regard accrocha une étoile et il la fixa, son regard devint reveur, absent, comme s'il étais a la fois si loin, et si pres.

- Je suis désolé... Mes paroles ont dépassé ma pensé... C'est juste que j'ai de la misere a parler aux gens parfois et le fait que tu me sois hostile comme ca... C'est déagréable...

Il regarda vers le bas, il n'osait pas la regarder, en partie parce qu'il avait peur de vori son regard t qu'il ne lui avait pas dit toute la vérité, bon pour sur il avait de la difficulté a discuter avec les gens, mais en fait il lui avait pratiquement crié dessus parce que son regard lui fesait mal, beaucoup plus qu'elle ne pouvait se l'imaginer... D nouveau il eut un haut le coeur et se pencha un peu plus vers la rambarde, ses mains se cramponnerent plus solidement.