Petit repos apres un long voyage

HJ: A n'importe quel membre de ma chambre qui le veut bien ^^

Dans la chambre tout étais calme, le soleil traversait doucement l'un des rideaux blancs a moitié tiré accroché au mur de couleur pale, donnant a la chambre un aspect d'apres midi bien entamé a la fois doux et légéement écoueurant, la chaleur, sans etre écrasante, suffisait a décourager le plus ardu des spotif. C'est a ce jour précis que l'avion d'un jeune homme aux longs cheveux blancs atterit, Ses pas résonnerent dans le couloir qui l'entourait, le garcon, un plan a la main, possédait de longs cheveux blancs qui lui arrivait environ aux épaules, dans la faible clarté du couloir, les néons donaient l'impression que le 5ieme anné étais dans un sale état par sa peau cireuse. Le jeue homme marcha, clop clop clop entendit il alors que ses souliersse posait avec un rythme régulir sur le sol, ses pensées vagabonderent un peu partout dans sa mémoire et a un certain moments, il se rendt compte avoir pris le mauvais couloir, il soupira et replaca machinalement une meche de cheveux blanches comme neige, sa main redescendit et il joua avec le piecing sur sa levre, un tic nerveux qui devait supposément partir apres un certain temps une fois le piercing fait, ce qui n'étais manifestement pas son cas. Ses yeux bleu iréelement pale a la fois si vide d'émotion et si froid se poseent sur laporte devant c'est yeux, une moue songeuse apparut sur son visage fin, ses levres si pale se pincerent, apparament il ne devait pas s'etre trompé puisque la porte avec la mention M10 étais devant lui, ce stupide plan evaitetre erroné, bien normal au fond si l'on pense que la personne qui la faite s'en foutait surement completement, en autant qu'il soit payer, a quoi bon faire plus d'effort pour aider quelqu'un a mieux s'en sortir... Stupide société...

Ses mains petites et ratatinées se refermerent sur le plan qu'il froissa et jeta dans le couloir, i baissa son regard, examinant sa tenue, chemise noir avec chaine qui sortait d'une poche sur son pectoraux droit, ok! Pantalon tout aussi noir facon éléphant rapiécé d'un peu partout avec un trouaux enou guche, Ok! Soulier de course noir acheté dans une vente de garage voila 1 ans, Ok! Le voyage avait été long et il ne tenait pas paraitre pouilleux, meme si d'une certaine facon il l'étais puisqu'il réparait toujours ses vetements qui paraissait toujours un peu plus usé et vieux, mais neuf d'une certaine facon... Drole de mélange, un peu comme sa peau et les couleur qu'il portait, toujours du foncé et tout sur lui étais d'une paleur bien souvent extreme, ironie du sort, bonheur de soi-meme.

*Quel bonheur? Seul le vide survit a l'intérieur de mon ame délabré...*

Il hocha la tete, come en réponse a sa derniere pensé. Sa main se posa sur la poigné et il étendit sa conscience alors que son corps frissonait au contact chaud de la poigné en métal, il ne ressentit aucune émotion que ne fut pas les sienne et en ressentit un certain soulagement, il étais seul. La porte de bois s'ouvrit en silence et il sourit tant il s'était attendu a l'entendre grincer. Son regard bleuatre se posa sur tout les recoins de la chambre, tel un connaisseur qui examinait ce qu'il s'appretait a acheter. Il y avait la huit lit simple au couverte leu, pourquoi pas blanche? Surement pour les taches, sauf qu le sperme paraissait sur le bleu... Au fond ca prenait vraiment juste un pessimiste pour penser ca, donc il y avait 4 lit superposé en fait, le plancher étais en ... Huh ce truc qui recouvre souvent les cuisines et qui coute pas cher, du prolar...
Peut-etre autre chose en fait on s'en fout du nom... Donc il y avait ce truc sur le sol, il yavait également quatres petites commodes surment pour range ses choses et une télé, pas tres grande, ni tres Hd, mias de toute faocn Oliven n'écoutait que tres peu la télévision, la jugeant trop idiote. Il déposa sa valise au pied du lit le plus pres de la fenetre et de sa main libre ouvrit cette derniere, l'air frais s'engouffra, un vent poussa calmement ses cheveux vers l'arriere et son regard tourmenté se détendit.

*Le vent allege la mémoire* Pensa t'il tranquillement.

Sa main gauch alla dans sa poche, sortit un paquet de cigarette, extirpa une cigarette et la porta a sa bouche, il rangea le paquet et sortit un briquet bleu de marque bic, ses doigts se detendirent appuyerent et la flamme se fit, il aspira une bouffé et s'adossa a la fenetre, le visage maintenant dehors, c'étais une bonne chose que le lit le plus pres de la fenetre sois libre... Soudain, une émotion, faible inconnue, le coeur d'Oliven se mit a battre plus vite, il se tourna, la porte s'ouvrit, son regard perdit tout de son paisible, il redevint vide, incertain, froid, un regard qui a l'instant meme ou l'on plongeait son regard dans celui du jeune garcon, l'on tombait dans un vide sans fin, plongeant dans les abysses éterel d'une ame qui ne connait plus que le remords. Olive fixa le nouveau venu ou la nouvelle venue.

Une jeun femme fit son apparition, Oliven se sentit surpris, mais il sut que ce ne fut point réelement lui qui se sentit surpris, il étais déja pret a voir quelqu'un entré dans la piece, ce devait etre elle donc, stupide don, don? Non... Malédiction plutot, malédiction qui l'avait toujoursempeché de s'integré aux autres. Le regard si pale et vide du jeune homme fixa la nouvelle venue qui lui sourit calmement et s'approcha d'un autre qui devait certainement etre le sien, son sourire, étais vrai, innocent et pure, Oliven ne put s'empecher d'en ressentir une pointe de jalousie, lui qui n'avait pas vraiment souri depuis si longtemps... Le sourire de la jeune femme s'agrandit et Oliven continua de la fixer de ses yeux abyssaux, il avait une expression a la fois reveuse et absente, comme si il étais a la fois tres loin et tres pres d'une autre facon. Un regard a la fois humain et différent des autres. Un regard terrifiant. Des yeux d'une profondeur troublante et d'un pale iréel. Le nom de la fillette fusa, de meme que son anné scolaire, l'expression du jeune homme s'adoucit légerement, passant du reveur hostile a reveur. un vent frais balaya ses cheveux et il la regarda sans rien dire, l'air calme et paisible, emme si ses yeux continuait de démontrer cet air tourmenté, une chance qu'il étais difficie de lire dans les yeux d'une personne, sinon il n'aurait eu que tres peu de dialogue...

*Non, c'est simplement que le vent m'empeche de m'exploser la gueule...* Pensa t'il amerement.

Ses levres s'ouvrirent délicatement et sa voix fusa, douce, calme, reveuse et aérienne.

-Oui... Je me nomme Oliven... Mais les gens m'apelle Oli toutefois... Je suis en derniere anné...

Sur ce il tourna de nouveau la tete vers l'extérieur, les arbres aux longues feuilles vertes tassait légérement vers la gauche poussé par le vent, Oliven ferma les yeux discretement et lorsqu'il les rouvrit de nouveau, il semblait plus heureux, plus calme, chaleureux meme, un sourire s'épanouit sur son visage.

-Le vent a toujours aidé a me reposer... Dit-il paisiblement.

Il se recula, un léger sourire aux levres et s'assit sur son lit qui grinca lorsque son postérieur alourdit le matelas, il la regarda faire et la détailla calmement, les cheveux brun chatain... Les yeux verdatre, la peau pale, elle semblait calme, un trait qu'il appréciait bien, meme si bien souent, le calme cachait un esprit froid et calcuteur...

-Qu'as tu dans cette boite? Demanda t'il songeusement en la fixant de ses yeux bleu iréelement pale.

-Merci bien. Je suis également ravi de vous rencontré.

Répondit le garcon en la regardant un léger sourire aux brods des levres. il s'accota sur ses bras et se laissa choir un peu plus sur le lit, ses cheveux blancs tombant sur ses épaules de toute part, il fixe le ciel de ses yeu si iréelement pale, l'air distrait accroché au visage malgré le sourire qui subsistait a son visage. De cette jeune femme, il ne sentait pour l'intant rien de néfaste, ce qui l'enchanta, peut-ete était elle une dame innocente qui ne remarquait pas comment l'etre humain était bas et mauvais ou peut-etre l'avait elle remarqué et avait elle décidé de combattre contre ce flot de méchanceté, levant haut la tete, armé de sonseul courage, chose que lui n'avait jamais eu la force de faire, car au fond de lui, il étais assez intelligent pour savoir que personne ne pourrait y changer quoi que ce soit, peu importe l'effort qu'il y mettrait. Sur cette pensé, une ombre imperceptible s'étendit sur son visage, dans son regard, autant par honte que par déception. Il passa une main petite et ratatiné dans ses longs cheveux blancs et les laissa retomber devant ses yeux en appéciant la douceur de ceux-ci.


-Ca dépend, un vent violent qui vous donne difficulté a avancé ne doit pas etre tres calmant. Dit-il, un sourire moqueur aux levres.

Il fixa de nouveau le ciel mi-nuageux, mi-ensoleill. dehors, pour lui qui étais un peu comme un fils du vent, rien n'égalait jamais le vent pour le mettre dans un état de sérénité presque parfait. Il eut un vague sourire face a c'est pensé et sa main droite tritura son piercing a la levres lorsque soudain, quelque chose le brula au genou gauche, il secoua le genou et vit un petit trou, de la cendre de cigarette, tellement absorbé par la nouvelle venue, le jeune homme de 17 ans aux longs cheveux blancs avaient fini par completement oublié la cigarette a moitié consumé qui gisait toujours dans sa main, presque éteinte, il la porta a ses levres et tira un bon coup pour la rallumer. Il retint son souffle, approcha son visage doucereux de la fenetre et souffla la boucane a l'extérieur, par respect pourLuna Shiro qui étais désormais sa nouvelle coloc de chambre. La jeune femme lui tendit le paquet, maintenant ouvert, le couverclede la petite boite blanche relevé, révélant de nombreux petit four sucré qui mirent l'eau a la bouche du garcon et des gargouillis dans son ventre affamé qui n'avait pas mangé depuis le départ de l'avion. Il regarda la femme, gené et reservé.

-Je... Ils ont l'air délicieux, si ca ne vous dérange pas... Je... J'aimerais bien en prendre un... Merci...

Il avanca prudemment sa main qui effleura le bord de la boite et se saisit du plus petit qu'il sentit moelleux dans sa main a la peau pale, il le porta sa bouche et mordit dedans avec avidité, le gout se révéla excellent et Oliven ferma les yeux en savourant, coupant l'étrange vide qui habitait son regard a celle qui lui portait actuellement compagnie, un sourire s'épanouit sur Oliven qui replongea son regard si vide dans celui de la jeune dame.

-Vous aviez raison, non seulement ne sont ils pas empoisonné, mais en plus ils goutent bon!

Il goussa d'un rire qui semblait en tout point vrai, mais qui ne l'étais pas, seul ses yeux démentaient ceci et il les ferma alors qu'il riait, pour les cachés, cependant il pensa qu'a toujours avoir ce regard, les gens finirait par pensé qu'au fond c'étais simplement son physique qui lui donnait cet allure. Il rouvrit les yeux et dit, un large sourire aux levres, ses cheveux poussé par un vent qui s'engouffra dans la fenetre.

-Il y a un four a l'école pour que vous en faites? Demanda t'il curieux.

Attendant sa réponse, le jeune homme prit une nouvelle bouffé de cigarette et recracha la bouffé par la fenetre une nouvelle fois.

*Oui... J'ai trouvé cet endroit et je l'ai laissé mourir..* Pensa amerement le garcon.

Il ferma les yeux alros qu'un flot d'émotion incontrolable remontait dans son bas ventre, luttant contre les larmes qu'ils lui venaient, il lui semblait mener un combat eprmanent contre lui-meme, seul moment ou il l'évitait n'étais que lorsque le vide l'habitait, le coupant de toute joie comme de toute émotions. Son souvenir lui revint, il la revit dans toute son éclat, pas jolies alors qu'elle était jeune et si merveilleuse plus tard, peu importe ce que les gens en pensait elle l'avait otujours été pour Oliven, et le cauchemar qu'ilavait fait la nuit derniere lui revint, il la revit, les poignets entaillé, le sang coulant de ceux-ci, nue et... Il déglutit impercptiblement.

*TU MA LAISSÉ MOURIR, TU AURAIS PU ME SAUVER!* Cria la voix.

Oliven s'approcha de la fenetre et plongea sa tete a l'extrieur, profitant de l'air froid dehors, peu a peu ses yeux si tourmentés reperdurent de leur éclat et redevinrent vide d'émotion, son visage sourit et il se retourna vers la dame, il la vit enlever sa veste et la trouva belle dans sa robe, il se retourna gené et refusant les plaisir charnels par tous les moyens en l'honneur de Rose. Il continua de fixer l'exterieur et vit un oiseau qui passa en volant ce qui attira son regard sur un couple au loin, main dans la main, son coeur se serra et il regarda un céureuil monter un arbre plutot, a croire qu'il s'y liguait tous aujourd'hui. Une chance que son visage si pale ne pouvait le devenir plus. Son visage doux se tourna vers la dame de nouveau et une meche de cheveux blancs tomba devant son oeuil, il la chassa d'un geste de la main et fit un mouvement de main négatif malgré que son estomac grondait famine.

-Non merci, je ne veux pas etre un goinfre Luna. Dit-il de sa voix assuré avec un mince sourire aux coins des levres, accoté a la fenetre, l'air paisible, Prouvant une fois de plus que les apparence sétaient trompeuse.

Il la regarda et lui sourit, la lumiere du soleil l'éclairant joliment, donnant a sa couleur de peau une allure de neige réflétant le soleil.

-J'aurais du le deviner, ou aurait il pu avoir des four ailleurs que dans la caeteria dans une école! S'exclama t'il en se tapant le front.

Il la regarda un sourire aux levres et s'assit a coté d'elle, de nouveau le lit grinca et il passa une main nerveuse dans ses cheveux.

-Est tu ici depuis longtemps? COmment c'est ici? Je viens d'arriver et n'ayant pas des notes extraordinaire je ne comprends pas vraiment pourquoi cette académie a eu un oeuil sur moi...

Oliven la regardait attentivement, un air souriant au visge, l'éternel cratere dans son regard, elle étais toujours souriante, parlait doucement, elle semblait simple... Non pas simple, personne n'étais simple, tous avaient des pensées complexes qui ne les regardaient qu'eux, cependant, elle ne semblais pas etre difficile u rien, elle semblait gentille et attentionné et de sa part Oliven ne ressentit rien e tpuisqu'il ressentait tout particulieremen les émotions négatives, il se dit qu'elle étais une des rares personnes réelement désinteressé de ce monde, il eut un sourire intérieu qui fut aussitot avalé par le vide qui l'entourait. Puis autour d'Oliven le vide se fit, ses oreilles cillerent et il battit plusieurs fois des paupieres, un vent souffla sur lui et poussa sa longue chemise vers l'arriere. Le jeue homme la regarda bouche bée, le mot résonna dans sa tete plusieurs fois.

Pouvoirs...

Ainsi, ils connaissaient l'existence de sa différence, la différence qui le rendait si différent des gens, le fait que comparé a eux, il étais un réel monstre et pourtant, il ne l'avait pas tué, pas torturé. Ce n'étais certainement pas une organisation gouvernementale, oh non! Cependant, lorsqu'elle disait qu'elle avait controlé les siens et qu'il ne la surveillait plus parlait elle de ses pouvoirs? Cela voulait il donc dire que tout le monde ici avait es pouvoirs et connaissait l'existence des siens, impossible... C'étais trop improbable, aucune endroit comme celui-ci ne pouvait exister sauf dans les bande dessiné de X-men.

-alors... Tu veux dire que... Tout le monde ici a des pouvoirs... Il ricana momentanément,

Ses yeux si iréelement pale la fixerent comme si elle venait de lui dire qu'elle pouvait faire résurrecté les gens, il secoua nerveusement sa tignasse de sa main gauche et jeta sa cigarette par la fenetre.

-Désolé... Mais c'est assez dur a croire... Dit-il en bégayant de plus en plus sérieusement.

Oliven avait peur, peur qu'on sache a quel point il étais différent que l'on ne se contente plus de simplementle sentir...

HJ: Désolé pas d'inspi et fatigué -_-

Abasourdi, le jeune garcon recula d'un pas et tombasur le lit sans vraiment sans rendre compte, cette école c'étais donc interessé a lui pour cette raison, ses pouvoirs, mais commnt l'avait il trouver, il n'avait user le vent qu'une fois... A ce souvenir son visage s'assombri, mais il n'en laissa rien paraitre, les aveux de la fille qui lui fesait face étais surprenant. Il la regarda, a la fois passioné et... Il devait bien l'avouer, légerement effrayé. Il la regarda s'apporcher de la fenetre et sortir dehors et observer l'extérieur en lui parlant de son pouvoir a elle qui étais assez étrange, les dragons... Peut-ere une croyance religieuse d'un peuple qui ont mitson pouvoir sur le compte de leur dieux qui serait une espece de roi-dragon. Il soupira, quel imbécilité il pouvait s'imaginer parfois.

*Ouais un vrai imbécile qui laisse les femmes mourirent.*

Son visage s'assombrit de nouveau et le vide s'empara de lui, il se débattit faiblement intérieurement, puis renonca, le vide étais lui, il lui appartenait. Son visage se leva et il remarqua qu'il avait laissé sa tete balloté vers le bas et se poser sur ses genou vetu de leur jeans noir. Son regard vide se posa sur celui pétillant et vaguement mélancholique de l'éleve de troisieme année.

-Je ne peux savoir si ce que tu dit et vrai, mais si tout le monde ici possede un pouvoir, moi aussi.

Il disait cela, mais il n'y pointait pas trop attention, son esprit vagabondant dans d'obscur pensé amené par le vide qui l'entourait constamment le regard éteint, il continua de arler en plongeant sonregard si abyssals dans celui de la dame.

-Je controle le vent et en fait, j'ai plutot l'impression que le vent est une partie de mon esprit et également un ami.

Oliven bailla un moment sans mee tenté de se cacher de sa main gauche, il se garda bien de dire qu'il ressentait les émotions, ainsi si quelqu'un voulait le heurter, il n'y parviendrait pas car il le saurait,jamais il ne pourrait faire confiance aux humains.

-Alors, y a t'il des cours pour apprendre a maitriser nos pouvoirs a faie des potions ou des trucs du genre?

Un tatouage dans son dos fut légerement visible pendant un instant, Oliven l'observa, apparament c'étais un morceau du corps de ce qui semblait etre un dragon assez bien réussi, Oliven soupira, la légende était elle vrai? Ou bien ce tatou venait t'il simplement d'une décision personne influencé par le désir d'etre respecté? Ses yeux si pales suivirent la courbe de la fille qui ne lui fit ni chaud ni froid, voila longtemps qu'il avait oublié ce que signifiait etre attiré par une personne. Le garcon se leva silencieusement, les levres fermé ensemble dans une ligne rectiligne sans émotions, ses yeux gorgés du vide infini qui les habitait, il fit un pas silencieux vers la fille, puis un autre, traversant le peu d'espace qui séparait son lit nouvellement acquis de la fenetre de sa chambre tout aussi récemment acquise, il s'approcha de la fillette et s'accouda juste a coté d'elle, légerement coincé dans l'espace resteint qui accédait vers l'extérieur.

-Norm qu'il soit étrange, avoir un pouvoir signifie etre différent des autres et lorsque l'on est différent, on a tendance a dévier encore plus de ce que les élites de notre société croit etre la voie ¨conventionnel¨.

Il fixa l'extérieur, ses yeux si vide et si pale se perdant dans la vague de l'air qui leur fesaitface a l'extérieur, partout, essentiel et si magnifique, si relaxant. Il continua de fixer l'horizon, la lumiere du soleil se réflétant sur sa peau pale, lui donnant un aspect brillant et vaguement irritant pour les yeux.

-Je n'ai pas dit que je ne te croyais pas Luna, simplement que je ne pouvais en etre sur, ce que tu dit est gros quand meme, mets toi a ma place, un dragon! Toutefois cela pourrait etre vrai, apres tout...

Il toura lentement la tete vers elle, le regard songeur, une couronne de cheveux blancs encadrant son visage si longiligne.

-Regarde mes yeux Luna, ne regarde pas la tourmente, le vide si apparent a l'intérieur de mes yeux que nul autre que toi n'avait su voir avant, regarde les vraiment, a l'intérieur du bleu, ne vois tu pas a quel point il est iréelement pale et si tu regarde encore mieux, ne vois tu pas le bleu qui se déplace constamment, comme si un coup de vent poussais dessus. Je vais te dire quelque chose, d'aussi peu probable que ton roi-dragon, de ton pouvoir qui te vient de ce monstre écailleux!

Il se tourna de nouveau vers l'extérieur, l'air lointain et reveur, la gorge serré.

-Depuis que je suis tout petit, je n'ai jamais su m'intégrer aux autres, a cause de mon physique différent et du fait que j'avais l'impression de ne pas penser comme eux, on dirait que lorsque je leur parlait, tout étais faux dans ma tete. Ca peut sembler étrange, mais je crois que quelque chose d'iréel s'est produit lorsque ce qui est mon donateur génital a engrossé ma mere, j'ai l'impression qu'un coup de vent y a été enfermé. Je n'ai jamais su m'adapter aux humains, je les méprise, ne les comprends pas, cependant, je controle le vent, lorsqu'il souffle sur moi, je me sens apaisé et j'ai l'impression qu'il me réconforte, je ne suis pas humain, je ne l'ai jamais cru, je ne suis que ce qui devait etre un simple coup de vent, maintenant enfermé dans une enveloppe charnelle, prisonnier de ce corps idiot.

Son regard se perdit dans le vague et il semblait maintenant a des kilometres d'ici, tres loin ailleurs, sa chemise ballotait sur ce qui semblait etre un vent grandissant, comme s'il approuvait les aproles d jeune homme aux longs cheveux si blancs.

-Lorsque je mourrais, la partie du vent enfermé en moi sera liberé et je regagnerais le lieux qui m'est destiné, j'ai pensé a me suicidé, mais je n'en n'ai jamais trouvé le courage.

Il la regarda alors et le vide semblait plus grand ue jamais, il lui fit un sourire faux et les paroles qu'il venait de prononcer avait semblé sans vie, comme s'il ne donnait qu'une information, l laissant indifférent lorsque soudain une étincelle de ce qui semblait etre hisoire flotta a l'intérieur de ses deux queneuils.

-Et peut-etre que lorsque je mourrais... Ils me laisseront la revoir...

Le regard d'Oliven s'embua et de nouveau le vide le quitta pour etreremplacé par un désespoir sans fin, il fit deux pas vers l'arriere soudain et dit d'une voix chevrotante en allant vers la porte.

-Je... Je crois en avoir trop dit, désolé Luna on se revoit daccord...

Sur ce il sortit, l'air légerement bouleversé.